Il pleut souvent ici, cependant il faut ajouter que la proximité de la côte génère un temps changeant. Souvent, pour trouver le soleil, il suffira de faire une quarantaine de kilomètres pour arpenter de magnifiques plages de sables où s'écrasent les rouleaux venus du large. Mais, à défaut d'habiter sur place il faudra y aller en voiture. Une légère mauvaise conscience due au mode de locomotion, mais qui est responsable de cela...nous tous bien sûr, nous devons être capables d'imposer de nouveaux carburants propres (l'eau par exemple); ceux-ci qui plus est nous permettrons de nous affranchir de puissances étrangères qui ne nous veulent pas que du bien. Ou plutôt, qui ne nous veulent du bien surtout tant que nous pouvons être clients.Tentons de faire pression.Un jour aussi il faudra reparler d'autonomie énergétique mais pas au niveau de l'État, au niveau de l'individu.Et là ce serait une grande révolution.
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