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22/11/2010

Drogues (et politique).

Deux citoyennes néerlandaises viennent d'être arrêtées gare du nord avec deux pains de cocaïne pour un total de 22 kilos... Mais les trafics sont partout et divers: drogue ici, d'influence là-bas, délits d'initiés grands ou petits. La politique est aussi une drogue dure, il suffit de voir et entendre ceux qui ne peuvent se passer du pouvoir qui est celui de l'influence et de l'argent aussi; les motivations sont parfois altruistes mais c'est d'abord le soi-même qui compte le plus souvent. La démocratie est une histoire drôle: combien d'ouvriers dans nos deux assemblées? Si l'on établit des quotas pour les femmes, ou pour d'autres pourquoi pas des quotas d'ouvriers au Sénat ou à la chambre des députés?
Quelqu'un osera-t-il dire que les ouvriers ne s'intéressent pas à la politique?
Et, si désintérêt il y a, à quoi serait-il dû?
Que vient faire cette histoire de drogue là-dedans me direz-vous? Et bien, je crois que s'il y a de tels trafics de drogue c'est lié non à la demande mais surtout à la rareté du produit et du coup au prix de vente exorbitant de la marchandise. Je propose donc que les drogues soient légalisées sous contrôle à un coût bas , suffisamment élevé pour demeurer un peu dissuasif. Le tout contrôlé par des organismes officiels_ pour le tabac et l'alcool on procède bien comme ça: l'Etat taxe et contrôle. Les médecins, psychiatres ou généralistes, pourraient agir au grand jour. Ceci éviterait probablement les turpitudes des marchands de mort, la police protégerait, sécuriserait les lieux de vente, et les actes de guerre auxquels ils se livrent tous les jours, que ce soit à Grenoble , à Marseille ou ailleurs dans notre bel hexagone.

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